lettre
Salut
Justine, je suis l’homme âgé qu’un jour a été un homme jeune. Cette lettre c’est pour vous
dis qui a ma vie dans un mois arriverai la morte. Le docteur hier a dit que j’ai une
tumeur dans la tête, il a dit que je dois être forte pour vous dis la
vérité. Dans c’est petit papier je
raconterai tous les jolis moments que nous avons eu dans ces vingt-six années
de mariés. Vous rappelez que nous nous sommes rencontré dans l’a aéroport Marseille quand j’étais cherché mon
journal ? C’est un moment magique,
coup de Froude. Je rappelle bien votre premier regarde, votre regarde a éclairé
ma vie votre présence en face moi
inspiriez angoisse parce
attendiez votre vol á Italie mais il n’arrivait pas, je me suis levé de la
chaise et je suis allé pour aider, vous me dites « bonjour, je ne parle pas bien français » et
immédiatement je t’ai aidé. C’est petit
moment a été suffisant pour commencer à parler entre nous. Comment vous ne
saviez pas bien parler la langue de mon pays j’ai aidé dans ce que vous voulez. Après je suis parti avec vous á la Italie.
Nous avons eu trois petites fils, maintenant ils ne sont pas déjà, ses rires ne
seront pas plus écoutés, la maison sera pas rempli de bonheur autre fois. Dans la Italie j’ai laissé ma vie, j’ai
laissé tout ma vie, dans c’est pays j’ai été très gai, j’ai connu lieux très
importants pour vous et ça me faisait heureux. Alors est arrivé l’heure de mon adieu,
uniquement je vous dites au revoir j’espère que nous trouverons autre
fois dans le ciel. Pour quand tu as lu cette lettre je serai déjà mort, parce
que j'ai tourné á ma France à
mourir dans paix
A toi, c’est petite poème de Rubén Darío :
l’inconnu, ce que nous pressentons à peine,
et puis la chair qui tente avec ses fraîches grappes
et la tombe béante aux funèbres rameaux,
et ne savoir où nous allons,
ni d’où nous sommes venus…
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